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N’DIALE



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N’DIALE (Bretagne, Mali)
JACKY MOLARD QUARTET & FOUNE DIARRA TRIO
Coup de cœur Académie Charles Cros  – Carte Blanche Sacem

 


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« les sept musiciens reçoivent le Monde, le Monde entier dans une œuvre joyeuse, saisissante et inoubliable. » Jean Rochard
Violoniste, compositeur, arrangeur, producteur, Jacky Molard est incontournable dans l’histoire de la musique bretonne des 3 dernières décennies. Gwerz, Pennou Skoulm, Erik Marchand & Les Balkaniks, Jacques Pellen Celtic Procession…nombreuses sont ses collaborations. Fin 2005, il lance son premier projet sous son propre nom : Jacky Molard Acoustic Quartet. Un quartet à son image, animé par la fusion de musiques du monde (bretonne, irlandaise, balkanique) et l’improvisation modale, harmonique et collective. Aujourd’hui, avec N’DIALE ce sont les thèmes bretons qui s’entremêlent subtilement au chant bambara. Ce projet émerge d’un voyage au Mali où le quartet de Jacky a rencontré le trio de la rayonnante chanteuse Foune Diarra. Plus qu’une rencontre, une aventure qui confère à N’DIALE une polysémie évidente : partage, alchimie, plaisir d’être ensemble. Les rythmes se chevauchent, le pentatonique flirte avec le diatonique et une nouvelle langue musicale prend forme. Et sur scène , le septet nous invite à l’évasion.

« The radiant Foune Diarra will surely be one of Mali’s next stars. Possessing a voice that’s powerful yet as sinuous as the slight frame that betrays her past as a dancer with the Malian Ballet, she dazzles and seduces with a mixture of supple soulful charm and rousing declamation worthy of an Oumou Sangare or an Amy Sacko. Backed by the dry, chirpy strains of kamelengoni player Kassim Sidibe (no mean vocalist himself) and Alhassane Sissoko’s animated djembe drum, the Foune Diarra Trio is an ensemble to be reckoned with. But that’s not the half of it. Bambara meets Breton on N’Diale with celebrated fiddler Jacky Molard commanding his quartet of violin, doublebass, accordeon and saxophone to lay an impressive array of European folk idioms over the core West African base. Celtic jaunts straddle Brittany and Ireland and Balkan textures come and go in a melange that could have amounted to a bit of an unholy mess in less assured hands. Instead it all knits together with seeming ease, these seven consummate musicians unafraid to let the tunes take as long as required to unravel (seven minutes seems an optimum time), with much of the impetus coming from the restrained Gallic jazz saxophone that Yannick Jory interlaces with the overall texture. A fine album from start to finish. » Ian Anderson, fROOTS.

 

En concert :

  • 20/10/2016 Théâtre Le Canal à Redon (56)
  • 23/10/2016 Le Plancher à Kergrist Moelou (22)

 

Scènes passées :

  • 23/07/2016 Festival Temps Fête à Douarnenez (29)
  • 30/07/2016WOMAD (UK)
  • 11/06/2016 Parfums de Musiques à L’Haÿ-les-Roses (94)
  • 12/06/2016 Respect Festival (CZ)
  • 24/05/15 Le Channel / Scène Nationale de Calais (62)
  • 21/05/2015 Espace Vauban, Brest (29)


TURBO SANS VISA



TURBO SANS VISA

Dj Wonderbraz : Yuna Le Braz / Vj Badgreen : Thierry Salvert
Marion Gwenn : chant / K-Smile : chant / Gurvant Le Gac : flûtes
Guest possible : Erik Marchand

TURBO SANS VISA @ EricLegret

 

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On peut apprécier un canard laqué parisien, une pizza écossaise, un couscous vietnamien voire une crêpe andalouse, mais pour qui veut pousser l’exploration plus loin, il faut goûter la mixture musicale et visuelle du collectif Turbo Sans Visa.
Traditionnellement épicée, naturellement excessive, politiquement incorrecte. Que les morceaux soient balkaniques, berbères ou béninois, le chant breton, wolof ou anglais, ça rape, ça chante, ça flute, ça triture le son et les images. On y prend tellement goût qu’on en redemande de ce piment là !

La chef cuistot qui concocte aux platines ces musiques qui secouent la carcasse, c’est Wonderbraz. Et elle est entourée d’une sacrée brigade. Il y a VJ Badgreen qui remet inlassablement le couvert avec ses bouts de films dénichés aux quatre coins du monde et retravaillés en rythme. Marion Gwenn qui fait monter la sauce sur les textes en bretons d’Erik Marchand. Le rappeur sénégalais K-Smile qui fait revenir textes en wolof et en anglais. Et pour assaisonner le tout, les envolées free style du flûtiste Gurvan le Gac. Mais où vont-ils chercher tout ça ?
Sans doute, un peu du côté des recettes d’Erik Marchand, incontournable interprète des musiques traditionnelles de Bretagne. Compositeur, capteur de mélodies et de techniques du Kreiz Breizh ou des Balkans, il est le socle de ce projet décalé. Il a fait s’emboîter, se heurter les leads et les rythmiques d’Ankara et de Bâb El Oued, de Bucarest et de Spézet.
A l’intersection de ce que véhicule la sono mondiale depuis plusieurs années, Turbo Sans Visa s’est engagé dans l’exploration, le métissage, en confondant les géographies, les origines, les formes, les genres. Volutes kaléidoscopiques, séquences répétitives d’images de danseurs du monde, mélodies bretonnes, danseurs berbères ou tchèques… Tout ce mélange, sans âge, ni nationalité… Du chaos du monde, capté par les cinq artistes, surgissent des ondes, des vagues rythmiques, des voix, des pulsations qui débouchent sur la reconstitution d’un patrimoine imaginaire, sur l’émergence de racines anciennes. A frapper du pied, onduler de l’épaule, relier le corps à des origines nouvelles, un nouveau territoire se dessine alors. Le traditionnel devient soudain contemporain et le contemporain semble dès lors ressurgir du lointain, sur les pas de la transe et de la communion, vers un nouveau rituel.
En ces heures sombres où d’aucuns voudraient que les frontières se referment, Turbo Sans Visa lutte pour la libre circulation, l’ouverture d’esprit sur le monde, sur ses hommes, ses femmes, ses cultures et prône le rassemblement humain…Aussi archaïque que surréaliste, aussi moderne que futuriste. Avec Turbo, toutes les frontières sont explosées.

 

http://wonderbraz.jimdo.com/turbo-sans-visa/

En concert
22/10/2016 La Bogue d’Or à Redon (56)

 

Scènes passées :
20/08/2016 Fête de l’Oignon  Roscoff (29) + guest ERIK MARCHAND
13/08/2016 Les Filets Bleus à Concarneau (29) + guest ERIK MARCHAND
09/07/2016 Fête des Brodeuses à Pont-Labbé (29)
23/07/2016 Paleo Festival à Nyon (Suisse)
19/03/2016 à BABEL MED 2016, Marseille (13)



KREIZ BREIZH AKADEMI 5ed Round



KREIZ BREIZH AKADEMI 5ed Round

KBA5 Web191339 Photo ∏ Eric Legret

Kreiz Breizh Akademi 5ed round rapproche l’esthétique des ensembles à cordes moyen-orientaux au répertoire vocal de Basse Bretagne tel qu’il évolue depuis plus d’un siècle. A travers une instrumentation atypique et une démarche générale allant vers les musiques improvisées, les 12 musiciens de KBA 5ed Round créent un genre inédit en brouillant les pistes géographiques et temporelles. En résulte une discussion passionnée entre virtuoses des cordes, un voyage musical autour des thèmes propres aux chansons populaires du Kreiz Breizh

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 Visitez la page de KuB :

En concert :

  • 26/02/2017 à la Philharmonie II , Paris (75)

Scènes passées   :

  • 6/08/2016 au Festival du Bout du monde à Crozon (29)
  • 17/07/2016 aux Nuits de Fourvière à Lyon (69)
  • 30/04/2016 à l’Abbaye de Beauport, Paimpol (22)
  • 29/02/2016 au Studio 105 de Radio France – (enregistrement live « Couleurs du Monde » – France Musique), Paris (75)
  • 05/02/2016 au Sterenn, Trégunc (29)
  • 10/12/2015 au Festival No Border( Le Quartz), Brest (29)
  • 06/11/2015 au Théâtre de Cornouaille, Quimper (29)
  • 29/08/2015 au Festival Fisel, Rostrenen (22)
  • 10/08/2015 au Festival Interceltique, Lorient (56)
  • 24/07/2015 au Festival de Cornouaille, Quimper (29)
  • 19/07/2015  au Festival des Vieilles Charrues, Carhaix (29)
  • 27/05/2015  au Run Ar Puns, Chateaulin (29)
  • 13/05/2015 à L’Antipode, Rennes (35)
  • 07/05/2015 à La Citrouille, Saint-Brieuc (22)
  • 05/05/2015, Langonnet (56)
  • 26/03/ 2015 à Huelgoat, Festival Couleurs du Monde (29)

 


KREIZ BREIZH AKADEMI

6ème collectif sur le thème « électro » disponible à partir de l’été 2017

En partenariat avec l’association Drom 

Créé en 2003, Kreiz Breizh Akademi (KBA) est un programme de formation musicale destinée à des musiciens de niveau professionnel. La spécificité de Kreiz Breizh Akademi réside dans le fait qu’elle s’appuie sur la transmission des règles d’interprétation de la musique modale (échelle, rythme, variation) et sur la musique populaire bretonne. La langue utilisée dans les formes chantées est la langue bretonne dans ses variantes locales (celle du kan ha diskan et des gwerzioù). Cinq collectifs Kreiz Breizh Akademi ont été créés. Chaque collectif travaille sur une couleur artistique propre et selon un programme construit spécifiquement en fonction de cette couleur. De prestigieux musiciens interviennent tout au long de la formation : Titi Robin (France, Inde), Ross Daly (Crête), Danyel Waro (La Réunion), Mehdi Haddab (Algérie, France), Karim Ziad (Algérie, France), Fawaz Baker (Syrie), Bojan Z. (Serbie, France) Rodolph Burger (France), etc.

Since 2003, young professional musicians from Brittany are formed within the collective Kreiz Breizh Akademi (under the artistic direction of Erik Marchand, in association with musicians from all over the world). The 5th one is based on rubbed strings in the orchestras of the great western music.

 



MAMAR KASSEY



 

 

 

MAMAR KASSEY (Niger)
Yacouba MOUMOUNI,
Abdourahamane ALBARKA BOMBOU,
Ousmane ABDOU,
Seyni HALIDOU,
Abdoulkarim Mamadou N’DIAYE,
Boubacar SOULEYMANE,
Fatouma AMADOU ALI

Le nom de Mamar Kassey appartient à l’histoire du peuple Songhay dont l’empire s‘étendait de Walata (Maroc) jusqu’au Dendi (Dahomey-actuel Bénin). Mamar Kassey est le plus illustre des ancêtres de ce peuple. Pour éviter les conflits de ses frères, il décida de s’exiler le long du fleuve Niger pour s’installer dans les régions de Kolmane, Yatakala, Wanzarbé, Tillabéry, Gotheye, Téra, Gaya et jusqu’à Kandi au Bénin.

Voilà d’où est tiré le nom du groupe Mamar Kassey, crée le 22 novembre 1995 avec la complicité de deux hommes : Yacouba Moumouni et Abdallah Al Hassane, tous deux musiciens sortis du Centre de Formation et de Promotion Musicale de Niamey (CFPN Elhadj Taya). Yacouba Moumouni, plus connu sous le sobriquet de DENKE DENKE, est aujourd’hui considéré comme l’artiste le plus en vogue au Niger. Dans toute l’Afrique de l’Ouest, Mamar Kassey a séduit plus d’un spectateur. Dans la musique du groupe, la tradition n’est pas un frein, mais l’élément dynamique donnant à sa création artistique tout son sens et tout son goût. Délivrée de la rigidité des codes par un esprit d’ouverture, respectueux de l’oralité, l’essence de la tradition irrigue toutes les compositions. Elle se propage à la vitesse de la lumière à travers le tempo de la calebasse et du tambour « Kalangou ». Elle unit dans un jeu de subtils contrastes les lignes mélodiques de la guitare électrique et du petit luth « Komsa ». Elle parle dans le chant et la voix de la flûte « Seysé » qui rebondissent en funambules sur la ligne d’une basse sous haute tension.

Kasseys are jolly good fellows « Mamar Kassey is the working group name used by the musician Yacouba Moumouni (nicknamed Denke-Denke). The group is from Niger and this is their third album release. Their 1999 debut, Denke-Denke, was a striking album that mixed the traditional sounds of the Sahel with a modern electric instrumentation. It was followed by Alatoumi in 2001, which was pretty much faultless. Taboussize-Niger continues in a predominantly acoustic and traditional vein, revealing an increased level of maturity and confidence in performance. Moumouni has a deep, rich, thick voice and plays flute in an earthy and breathy fashion. He also plays kamalengoni lute, backed by an ensemble that includes a raspy single-stringed fiddle and pulsing talking drum. However, this isn’t entirely acoustic traditional fare – there’s an electric bass and flashes of electric guitar that round out the production. Two female voices impeccably fill out Yacouba Moumouni’s terrific vocals on a West African album that is an absolute joy. » Martin Sinnock – Songlines Magazine

Scènes passées :

  • 24/10/2015 Palace of Arts, Budapest Hongrie
  •  07/06/14 Festival Music Meeting – Nijmegen, Hollande
    • 08/06/14 Angoulême (16) Festival Musiques Métisses
    • 15/06/14 M Prague (Rép Tchèque) Festival Respect
    • 21/06/14 Langonnet (56) Fête de la Musique
    • 28/06/14 Marseille (13) Festival Africa Fête
    • 29/06/14 St Pierre d’Aurillac Festival Les Fifres de Garonne
    • 03/07/14 Amsterdam Bimhuis Festival
    • 04/07/14 DANEMARK Festival Roskilde
    • 06/07/14 Hertme (Hollande) Festival Afrika Hertme
    • 10/07/14 La Roche sur Yon (85) Festival le Café de l’été
    • 11/07/14 Landerneau (29) Festival Kan Al Loar
    • 13/07/14 Paris Festival Rhizomes
    • 19/07/14 Cracovie Crossroads Festival
    • 24/07/14 Sines (Portugal) Festival Musica di Mundo
    • 26/07/14 Gdynia (Pologne) Globaltica Festival
    • 02/08/14 Crozon (29) Festival du Bt du Monde

 


Mamar Kassey


KEYVAN CHEMIRANI « AVAZ »



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KEYVAN CHEMIRANI « AVAZ »

Keyvan CHEMIRANI, Annie EBREL, Maryam CHEMIRANI, Sylvain BAROU, Hamid KHABBAZI

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AVAZ unit les mystiques persans des 12ème et 13ème siècles (Hafez, Rumi, Khayam, etc.) au répertoire traditionnel breton des gwerzioù. L’amour y est chanté alternativement, entre complaintes méditatives et envolées lyriques, par Annie Ebrel et Mayram Chemirani , tour à tour en perse puis en breton. Pour accompagner ce chant, les musiciens s’appuient sur l’histoire et la culture des musiques iranienne et bretonne et développent leur propre narration. Keyvan Chemirani (percussions), Hamid Khabbazi (târ) et Sylvain Barou (flûtes) mènent la danse sur des rythmes croisés. Ils forment un écrin subtil pour mélanger et accentuer les caractères propres aux deux répertoires, mêlant morceaux traditionnels et compositions originales. Deux cultures, deux musiques, deux voix… !

Avaz is a project uniting Persian mystical poets (12th & 13th centuries: Hafez, Rîmî, Khayyâm, etc.) and traditional Breton gwerzioù (laments). The subject of love is developed by Annie Ebrel and Mayram Chemirani, between meditative laments and lyric inspirations, alternately in Persian and Breton. To accompany these songs, the musicians mine the history and culture of the Iranian and Breton traditions and, furthermore, develop their own narrative form. Keyvan Chemirani (percussion), Hamid Khabbazi ( târ ), and Sylvain Barou (flutes) lead the dance on crossed rhythms. They form a subtle setting to mix and emphasise the unique characters of the two repertoires, playing traditional pieces and original compositions. Two cultures, two musics, two voices…!

 

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Scènes passées :

  • 4/06/2016 Festival Parfums de Musiques à l’Haÿ-les-Roses (94)
  • 29/04/2016 au Centre Culturel Jean Gagnant, Limoges (87)
  • 28/04/2016 Aux Sept Collines, Tulle (19)
  • 22/10/2015 à « La Bogue d’Or », Théâtre de Redon (56)
  • 16/07/ 2015 « Aux heures d’été » – Nantes (44)
  • 12/03/ 2015 au Studio de l’Ermitage – Paris XXème
  • 07/12/ 2014  à La Grande Boutique – Langonnet (56)
  • 06/12/ 2014  à La Chapelle Bleue – Ploermel (56)
  • 05/12/ 2014 au Centre Culturel Athéna – Auray (56)
  • 02/12/ 2014 au Théâtre de Cornouaille – Quimper (29)


JACKY MOLARD QUARTET



JACKY MOLARD QUARTET (Bretagne)

Jacky MOLARD, Hélène LABARRIERE, Yannick JORY,Janick MARTIN

*** Nouveau disque à paraître automne 2017 ***
invités : Christophe Marguet, Jean-Michel Veillon, François Corneloup, Serge Teyssot-Gay, Albert Marcoeur

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JackyMolardQuartet

 

« Le leader est à la manœuvre, avec un violon qui s’est dégourdi dans les fest-noz, s’est affiné en Irlande et s’est encanaillé dans les Balkans, plus l’utopie improvisée du jazz et les images mentales que supposent tous ces voyages. Elles irriguent l’écriture du répertoire qui, passée elle aussi par la Bretagne, l’Irlande, les Balkans et même l’Espagne du 15ème siècle, trouve son climax dans une longue suite finale inspirée de l’Ecosse justement et de ses pibrochs. Le saxophoniste Yannick Jory (soprano et alto) associe des compétences d’improvisateur à une maîtrise de l’ornementation instrumentale traditionnelle dont la mécanique du saxophone ne permet pas aisément de reproduire la nervosité et la légèreté. Janick Martin fait des prodiges sur sa petite boîte à frissons, un diatonique, presque un jouet, qu’il fait bouillir comme une marmite, dont il tire les improvisations les plus folles, les rythmes les plus entêtants, les mélodies les plus poignantes et des longs bourdons qui portent les moments d’accalmie, pendant qu’Hélène Labarrière ramène de ce qu’elle appris dans le jazz moderne pour faire groover cette musique, développant – le sait-elle – quelque chose qui naquit il y a une quarantaine d’année dans le folk rock anglais avec le bassiste Ashley Hutchings au sein de Fairport Convention et surtout du premier Steeleye Span, avec le guitariste Martin Carthy. » Franck Bergerot – Jazzmagazine

Suites from a four-piece : « {…}
The new record’s multi-track Suites explore music from different cultures. The flexibility of the instrumentation here – Molard’s own violin, Yannick Jory’s soprano and alto saxophones, double bass from Helene Labarriere and accordion from Janick Martin – and the ability of these musicians to shape-shift between styles, means
the album strays far and wide. Two tracks of minimalist, sometimes atonal, Celtic-flavoured jazz that together make up a suite titled ‘Onorique’, are sandwiched between a beguiling four-part hymn to the Hebrides, and the Balkans-centred ‘Impair’, at the heart of which is a pair of scratchy, wild and fragrant Bulgarian dances. Uniting the suites is the quartet’s own particular sound-world: a benevolent cacophony stemming from group improvisation and a tendency to push at the borders of tonality. The natural liveliness of traditional Breton music is ever present too, with the bounce of Molard’s violin lines often mirrored by Martin’s accordion. Overall, this is an intriguing, immersive listen. »
Tim Woodall, Songlines magazine

Scènes passées :

  • 12/06/2016 : JACKY MOLARD QUARTET Respect Festival (CZ)
  • 13/02/2016 : JACKY MOLARD QUARTET Le Dôme, Saint-Avé
  • 2/04/2016 : JACKY MOLARD QUARTET + Jean-Michel VEILLON + François CORNELOUP, Espace Glenmor à Carhaix (festival Couleurs du Monde)
  • 19 et 20/06/2015 JACKY MOLARD QUARTET Festim, Portugal
  • 09/07/2015 JACKY MOLARD QUARTET Crossroad Festival, Pologne
  • 18/07/2015 JACKY MOLARD QUARTET Ortigueira, Espagne
  • Du 17/02 au 28/02/15 JACKY MOLARD QUARTET SWEDEN TOUR


VALENTIN CLASTRIER



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VALENTIN CLASTRIER

 

 

« Pape de la vielle à roue électroacoustique, Valentin Clastrier ne se contente pas d’élargir les possibilités son instrument avec la complicité du luthier viennois Wolfgang Weichselbaumer – ce virtuose tient à inventer son propre répertoire cherchant à profiter de toutes les possibilités de jeu que lui offrent les divers mécanismes ajoutés et l’électronique embarquée. {…}bruits de matière, craquements, frottements, effets divers viennent nourrir les mélodies circulaires aux sonorités nasales tantôt entêtantes, tantôt enivrantes, de ce « vielleux pas comme les autres » et de son instrument. A écouter comme on lirait de la poésie, en se laissant porter par les sonorités, les couleurs, les ambiances. » Sq’ – Mondomix

Valentin Clastrier is one of the most innovative musicians in France. Although
he launched his career as a guitarist, accompanying such French poets as Jacques Brel and Ricet Barrier, Clastrier has become increasingly experimental. Introduced to the hurdy-gurdy in 1970, designed and built, with violin-maker Denis Siorat, an electro-acoustic hurdy-gurdy viola with twenty-seven strings rather than the standard six. The instrument’s flexibility has enabled Clastrier to explore new musical realms.

Scènes passées :

          • 17/12/2015 Grim Montévidéo, Marseille
          • 07 / 07 / 2015 Festival Crossroad, Pologne
          • 28  au 30 / 07 / 2015 Folk Holidays Festival, République Tchèque
          • 11 / 03 / 2015 Studio de l’Ermitage – Paris XXème
          • 24/05/14 Lyon Festival Jazz à cours et à jardins
          • 01/08/14 Parthenay (79) Festival de Bouche à Oreilles


BADUME’S BAND



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BADUME’S BAND  & SELAMNESH ZEMENE     (Ethiojazz)

Selamnesh ZEMENE, Pierre-Yves MEREL, Stéphane LE DRO, Olivier GUENEGUO, Rudy BLAS, Charles LUCAS, Antonin VOLSON, Jonathan VOLSON

 

A l’instar d’un Jim Jarmush qui remit au goût du jour la musique éthiopienne, à travers la bande originale de Broken flowers, le Badume’s Band est un véritable passeur de culture musicale en Occident. Pris d’amour pour ce genre original qu’est l’éthio-jazz, ce groupe atypique originaire de Bretagne, s’est mis en tête de recréer l’atmosphère de l’Addis-Abeba des année 60 et 70, lorsque la capitale africaine tourbillonnait au son du twist, de la soul et du rythm’n’blues. Tout d’abord amené par la voix du chanteur Eric Menneteau, puis celle de Mahmoud Ahmed et de Selmanesh Zéméné, le Badume’s Band revisite depuis plusieurs années l’âge d’or de la musique éthiopienne avec une maestria jubilatoire.

This atypical Breton group recreates the atmosphere of Addis Ababa of the 60’s and 70’s, when the Africain capital swirled in the sound of twist, the soul & rythm’n blues.Today, they perform with several singers : the famous Mahmoud Ahmed, the princess Selamnesh Ze- mene and the dancer Zenash Tsegaye, but also with their fisrt singer, the breton Eric Menneteau !

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020 Badume's Band, Vieilles Charrues 2012 photo Eric Legret

Avec la chanteuse Selamnesh Zéméné, ils créent un répertoire de compositions qui empruntent aux standards 70’s (« oldies » et « goldies » comme Tezeta , Mela Mela…), aux pépites du patrimoine ancien éthiopien et à des influences plus modernes. Selamnesh Zéméné appartient à la communauté nomade Azmari de la région de Gonder dans les hauts plateaux à 750 kms d’Addis Abeba. Ensemble, ils transforment la scène en véritable azmaribet, cabaret improvisé des ruelles d’Addis-Abeba où les danseurs, chanteurs et musiciens éthiopiens croquaient à pleines dents les travers de leur société. Toujours entraînant, toujours indocile, laissez-vous séduire par le chant et la danse des deux étoiles montantes féminines d’Addis Abeba.

 

The 60s and 70s was a very special period in Ethiopian music. In the new millennium music collectors have discovered and distributed this musical treasure of golden funk, jazz, afrobeat and soul. The music of this period in time has a distinct beat, which is not found in James Brown or Fela Kuti. Clearly Badume’s Band is in love with these glory days and though the nine man ensemble consists of Frenchmen they earlier let their saxophones glitter as a backing band for the grand old man of the musical golden age; Mahmoud Ahmed. Led by the Ethiopian singer Selamnesh Zemene, Badume’s Band recreate the Addis Ababa of 1970. Together they embody not just a past but also a future of Ethiopian, urban music.

Selamnesh Zemene belongs to the nomadic community Azmari of Gonder, region located in the highlands, 750 km north of Addis Ababa. The Azmaris often perform in bars called Azmaribet and are known for their irreverent humor and skillful improvisations. Between tradition and modernity, the Badume’s Band  revisits the Azmari’s repertoire by borrowing from electric colors of 70’s Swinging Addis .

« The set alternates between instrumental times, rhythmic songs and melancholic tracks, with a permanent mind of harmony. You leave the concert with the feeling of not be present at a simple concert. For two hours, the audience became immersed in one of Addis Ababa clubs in the middle of the 70s, and seeing the smiles and dances in the front row, it is hoped that Badume’s Band continue to revive the Ethio-jazz for many years to come … « 
 

Scènes passées
2011-2014 : Arts des villes Arts des champs (Malguénac) / Festival de Roskilde (Danemark)/ Festival Mawazine (Rabat) / Festival Wazemmes (Lille) / Les Joutes (Correns) / Le Périscope (Lyon) / Festival International de Timgad (Algérie) / Festival International des arts de lahaggar (Tamanrasset -Algérie)
2010-2009 : Tournée ETHIOPIQUES avec Mahmoud Ahmed et Alémayéhu Eshété : Womad (Australie et Nouvelle Zélande) / Festivals de Ljubljana / Mawazine (Rabat) / Musiques Metisses (Angoulême) / Les eurokéennes (Belfort) / Bout du Monde (Crozon) / Escales (St Nazaire)/ Festival d’été de Québec / Ottawa /
Rotterdam / Nantes / Genève…
2008 : Festival Banlieues Bleues / Festival Ollin Kan Mexico / Festival Fiest’à Sète / Festival Les Nuits Européennes (Strasbourg) / Afrika Festival Hertme (NL) / Oslo World Music Festival (NOR) / Selam Africam Festival (SWE) / Festival Ti Piment (Nancy)…
2007 : Festival Africolor / Transmusicales de Rennes + Tournée des Trans / La Cigale (Paris) / RASA- Utrecht
(NL) / Zuiderpershuis-Anvers (BL) / Bimhuis – Amsterdam (NL) / La Carène (Brest)….


HELENE LABARRIERE QUARTET



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HELENE LABARRIERE QUARTET (Jazz contemporain)
Hélène LABARRIERE, François CORNELOUP, Hasse POULSEN, Christophe MARGUET

« Hélène Labarrière fait partie de cette génération née juste à temps pour bénéficier d’un apprentissage à l’ancienne, sur le terrain d’une scène jazz parisienne alors florissante, au contact des plus grands : Slide Hampton, Art Farmer, Lee Konitz (avec qui elle enregistre son premier album), Daniel Humair… La découverte de Charlie Haden et de sa pratique libertaire de la contrebasse lui ouvre d’autres horizons. Leader à son tour, elle multiplie les expériences transdisciplinaires et les rencontres inattendues, de Montreuil au Mali, de la musique contemporaine (Ars Nova) à la chanson réaliste (Violaine Schwartz), du théâtre engagé (Mohamed Rouabbhi) au slam/rap en colère (D’ de Kabal), de l’improvisation la plus free à la musique bretonne traditionnelle (les frères Molard)… » L.Soliman, Politis

Depuis 2000, elle crée avec son propre quartet une des musiques les plus originales et les plus ennivrantes de la scène contemporaine.
« Comme si la contrebassiste s’appliquait dans son travail de composition à reprendre inlassablement les mêmes ingrédients afin d’en affiner les dosages et les équilibres, consciente pour reprendre les mots de Proust qu’ « il y a moins de force dans une innovation artificielle que dans une répétition destinée à suggérer une vérité neuve. » On ne sera donc guère étonné de retrouver tout ce qui fait la force et le charme de la musique d’Hélène Labarrière – le groove, le lyrisme, l’énergie, la puissance mélodique, la tension entre forme et improvisation – mais dans une version décantée, épurée… » Stéphane Ollivier – Cjoc Jazzman

A band lead by the extraordinary bassist Hélène Labarrière, who play with subttle sounds and various rhythms. One of the most creative jazz music of the moment.

« Together since the early part of
this century, this quartet is a definite group project which takes advantage of the alternatively nimble and hefty tones available from the combination of baritone saxophone, guitar, drums and Labarrière’s bass. Made up of top European soloists – who each lead other bands as well – credentials range from Labarrière’s, who is also associated with prominent French improvisers such as saxophonist Sylvain Kassap guitarist Marc Ducret, trombonist Yves Robert and clarinetist Louis Sclavis; the last three of whom have also worked with the group’s two other French natives, saxophonist François Corneloup and drummer Christophe Marguet. Copenhagen- born, Paris-resident guitarist Hasse Poulsen, works with Sclavis as well as with younger players like drummer Edward Perraud and cornetist Méderic Collignon. » Ken Waxman, Jazzword

 

Scènes passées :

  •  27/05/2016 HELENE LABARRIERE QUARTET MJC Claude Nougaro à Montmorillon
  • 10 / 03 / 15 LABARRIÈRE/SCWHARTZ : Studio de l’Ermitage – Paris XXème
  •   02/03/14 LABARRIÈRE/SCWHARTZ : Langonnet – Le Plancher
  •  13/02/14 H.LABARRIÈRE QUARTET : Dijon – Djazz Cabaret / Tournée CRJBourgogne
  •   02/04/14 H.LABARRIÈRE QUARTET : Rochefort – Théâtre de la Coupe d’Or
  •  04/04/14 H.LABARRIÈRE QUARTET : Auxerre / Tournée CRJBourgogne
  • 05/04/14 H.LABARRIÈRE QUARTET : Châlon s/ Saone / Tournée CRJBourgogne


BUSKING



BUSKING

buskin-@-eric-legret-web

avec
Hélène Labarrière – contrebasse
Hasse Poulsen – guitare

Busking, Hélène Labarrière (Contrebasse) et Hasse Poulsen (guitare), deux musiciens, deux explorateurs, deux chercheurs. L’improvisation est leur vision du monde, un éternel recommencement, une mise en perspective perpétuelle. De nombreuses années passées ensemble à construire et déconstruire à partir de compositions personnelles (Les temps changent, Désordre), et aujourd’hui un désir : continuer l’aventure autrement. La chanson , fil rouge des deux protagonistes depuis toujours («J’ai le cafard» avec Violaine Schwartz, un duo avec Rodolphe Burger, des concerts en solo pour Hélène, «The man They call Ass», «Langston Project» pour Hasse, ) est leur nouveau terrain de jeu commun.
La chanson , souvenir d’enfance au pays des rêves : Des perles de la variété française, des trésors du mythe américain, la langue du pays de Trier,
La chanson, sans les mots, les cordes se frottent et s’emmêlent, pour encore plus d’intimité, de partage, avec jubilation…
Hélène Labarrière et Hasse Poulsen sont drôles, dans la finesse des choses. Ils sont un peu sombres aussi, mais tout est libre, tout est soupesé. Amené. L’interprétation n’est-elle pas un désir ? Ecoutez comme ils séduisent à merveille ce bel inconnu-très connu que l’on appelle, dans la rue, « melodie ».

Extrait des notes de pochette (cecile camil)

 

      1. Formidable - Hélène Labarrière & Hasse Poulsen

Extrait du disque BUSKING – Hélène Labarrière & Hasse Poulsen

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Hélène Labarrière : contrebasse
À 16 ans, elle entre au conservatoire de Boulogne et choisit la contrebasse. À 20 ans, elle se trouve dans la Swing Machine du saxophoniste Gérard Badini. Elle accompagne bientôt de beaux représentants du jazz américain comme Lee Konitz (avec lequel elle enregistre), Slide Hampton, Art Farmer ou Johnny Griffin. Puis la découverte de Charlie Haden est un détonateur : cette façon radicalement différente de jouer de l’instrument, de se placer dans un orchestre. Inévitablement d’autres liens se tissent. Adoptée par ses contemporains, elle intègre les groupes d’Eric Barret, Malo Vallois, Jean-Marc Padovani et Daniel Humair.

En 1990, elle rejoint le collectif Incidences où elle rencontre François Corneloup Jean-Marc Padovani et Sylvain Kassap dont elle sera la contrebassiste dans plusieurs orchestres. En 1993, elle crée son propre groupe « Machination » avec la chanteuse Corin Curschellas, la trompettiste Ingrid Jensen, le guitariste Noël Akchoté et le batteur Peter Gritz, en hommage direct à Robert Wyatt. Régulière des Instants Chavirés, elle participe aussi aux expériences musicales de Noël Akchoté, Benoît Delbecq, Mike Cooper ou Lol Coxhill. Elle participe à l’enregistrement du disque Buenaventura Durruti par le label de Jean Rochard Nato, où elle rencontre Tony Hymas avec qui elle jouera en trio avec Mark Sanders et avec ce même trio participe à deux expériences de musique et dessins avec Moebius. Elle enregistre en duo avec Sylvain Kassap et fait partie des meilleurs groupes d’Yves Robert.

Boulimique d’expériences, elle est invitée par la scène folk bretonne et rejoint l’exceptionnel groupe de Jacky Molard avec lequel elle enregistre et tourne. A cette occasion elle renoue avec un élément musical, pour autant jamais perdu de vue dans la pratique de l’improvisation, mais expérimenté d’une autre manière : le groove, la transe, toutes ces notions rythmiques centrales dans le jazz de ses débuts. Son deuxième disque en leader – dix ans après Machination – (avec François Corneloup, Hasse Poulsen, Christophe Marguet), portant le titre doucement prometteur Les temps changent sort en septembre 2007 chez Emouvance. On y trouve sa chanson fétiche « La complainte de la butte ». En 2012 un autre disque paraît avec son quartet : Désordre, sur le label centre breton Innacor.

Actuellement, en parallèle de son quartet et du duo Busking avec le guitariste Hasse Poulsen, Hélène Labarrière participe aux formations suivantes : ceol mor / light & shade de Patrick Molard, projet inédit autour de la musique classique écossaise de Pibroc’h, en duo avec la comédienne Violaine Schwartz sur un répertoire de chansons réalistes, dans le trio de François Corneloup aux côté de Simon Goubert, tout récemment dans le projet « Blind » d’Erwan Keravec, mais aussi toujours dans le quartet de Jacky Molard, et cette nouvelle mouture Breton Blend – reformation de Pennou Skoulm avec le guitariste Jamie McMenemy, etc.

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Hasse Poulsen : guitare

Né au Danemark, Hasse Poulsen commence la musique à 9 ans, au violon. À l’âge de 13 ans, il prend la guitare et apprend avec le chanteur compositeur interprète Tom Bailey et avec le guitariste de flamenco Christian Sievert. Au lycée, Karsten Houmark lui enseigne la guitare jazz, Hasse Poulsen rejoint alors le groupe dirigé par Rasmus Bennike, très influencé par Joe Pass. Il étudie plus tard au Berklee College à Boston et retourne au nouveau «Conservatoire de Musique rythmique improvisée» à Copenhague, où des enseignants comme NHØP, Horace Parlan, Ed Thigpen, Thomas Clausen, Alex Riel, Emmanuel Rahim, Atilla Engin et beaucoup d’autres, partagent leurs expériences. Poulsen étudie ensuite la composition avec Bent Sørensen pendant 2 ans, qui lui transmet l’idée selon laquelle il faut créer son propre langage musical. La musique contemporaine devient alors pour lui une musique active, et pas seulement une musique écrite et théorique. Cette idée conduit directement Hasse Poulsen vers une période d’improvisation libre avec des musiciens tels que Mark Sanders, John Butcher, Phil Minton et Joëlle Léandre et plus tard Luc Ex, Sidsel Endresen, etc.

Avec le batteur Lars Juul, il fonde en 1991 le groupe Sound of Choice, qui fonctionnera pendant plus de dix ans comme un formidable lieu d’expérimentation pour les musiciens : compositions de toutes sortes, formes de jazz atonales, tonales, partitions graphiques, concepts, électronique, improvisation libre, performances ….
Un autre groupe central a été le trio Anker Friis Poulsen (avec la saxophoniste Lotte Anker et le bassiste Peter Friis) qui a souvent invité d’autres musiciens tels que Peter Brötzmann, Terje Isungset, Arve Henriksen et bien d’autres. En 1990 Poulsen et 4 autres jeunes ouvrent la galerie AV-ART, dédiée aux expositions, concerts et soirées poésie. AV-ART organise plusieurs festivals de musique improvisée et jazz expérimental, pour enfin devenir, en 1995, un collectif de musiciens et un label.

C’est en 1997, que le guitariste danois s’installe à Paris. Il forme le trio 49 ° Nord, avec Christophe Marguet et Bertrand Denzler. En 2002, Louis Sclavis invite Poulsen dans Napolis Walls, aux côtés de Vincent Courtois et Médéric Collignon. Le trio Das Kapital est créé la même année, devenant petit à petit le groupe principal du guitariste, avec Edward Perraud et Daniel Erdmann. Le label Das Kapital Records est créé en 2011, sur lequel paraît en 2015 le disque The Langston Project, basé sur les poèmes de Langston Hughes.

Hasse Poulsen est également le guitariste du quartet d’Hélène Labarrière. Il est leader de ces formations : The Langston Project, Progressive Patriots, et produit son solo The Man They Call Ass.


EN CONCERTS:

  • 13/10/2016 BUSKING – Hélène Labarrière & Hasse Poulsen au festival de jazz de Reims (51)
  • 14/10/2016 BUSKING – Hélène Labarrière & Hasse Poulsen au Théâtre au Clain , Poitiers (86)
  • 15/10/2016 BUSKING – Hélène Labarrière & Hasse Poulsen au Café du Boulevard à Melle (79)
  • 16/10/2016 BUSKING – Hélène Labarrière & Hasse Poulsen au Café Sous les palmiers, la plage à Saint-Nazaire (44)
  • 09/11/2016 BUSKING – Hélène Labarrière & Hasse Poulsen au Festival D’jazz à Nevers (56)
  • 11/11/2016 , BUSKING – Hélène Labarrière & Hasse Poulsen à l’Ogibe à Montreuil (93)
  • 04/02/2017 HELENE LABARRIERE SOLO au Carré Magique – 10 ronds d’aile à Lannion (22)
  • 10/02/2017  BUSKING – Hélène Labarrière & Hasse Poulsen au Cri du Port à Marseille (13)

Scènes passées :

15/08/2016 Festival de jazz de Cluny (71)

16/02/16 Festival SONS D’HIVER (Théâtre Antoine Vitez – Ivry/Seine)